Environ 30% des nouveaux radars automatiques sont mobiles, c'est
à dire qu'ils sont embarqués dans des
véhicules de police et de gendarmerie. Chaque
département (en métropole) en possède
quelques uns. Les radars mobiles sont
affectés à
une
unité du département concerné (par
exemple une
gendarmerie) qui en a ensuite la charge d'utilisation.
Les radars
lors de
leur utilisation
peuvent être déposés hors
du
véhicule (géréralement un break) ou
rester à l'intérieur
de
celui-ci. Bien
entendu les véhicules qui transportent
ces
radars sont banalisés afin de ne pas attirer l'attention des
automobilistes (et motars puisque ces radars peuvent être
facilement tournés vers l'arrière). Le radar
mobile est
placé à l'arrière du
break, reconnaissable à la plaque minéralogique
de la
gendarmerie ou de la police, et à la vitre
arrière
fumée, avec de petites lucarnes pour l'objectif et les deux
flash. Deux agents sont à bord du véhicule.
Attention
donc aux scénic, mégane, 306 blanches ou
grises...
De plus les petits panneaux de
signalisation de la
présence du radar (non obligatoires) ne sont plus
utilisés (en savoir plus sur les panneaux
de signalisation des radars).
Le fait que les radars mobiles soient affectés à une unité particulière rend leur localisation plus prévisible: la police ou les gendarmes ont généralement un certain nombre de sites "favoris" où les vitesse sont souvent dépassées et il n'est donc pas rare de les retrouver aux mêmes endroits. Bien sûr ceci est tout à fait informel. Les sites fréquents ayant été localisés sont précisés ci-dessous, mais la véracité de ces informations n'est en rien établie ni pérenne.
La répartition des radars mobiles par département, telle qu'annoncée par les autorités.
Cette liste n'est évidemment plus mise à jour.